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Sofia Sadok: L'excès de liberté frôle l'impolitesse

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Invitée de Hédi dans Noujoum de ce samedi 17 septembre, la chanteuse Sofia Sadok a évoqué la chanson 'Haha' expliquant que les paroles font référence à la Tunisie et aux conditions précaires et difficiles du peuple.

Sofia Sadok a indiqué que depuis 2011, elle a choisi de tenir de grands spectacles en dehors du pays car elle n'étais pas prêt psychologiquement à participer à des festivals.

Elle a ajouté, dans le même sens que Mohamed Zine El Abidine ancien directeur du festival de Carthage lui a proposé de monter sur la scène du festival de Carthage, à trois reprises mais qu'il faut un grand travail et concentration pour Carthage.

Interrogée sur son absence du spectacle en hommage à la chanteuse tunisienne Dhekra Mohamed à Carthage cet été, Sofia Sadok a estimé que l'hommage n'est pas à la hauteur de Dhekra Mohamed et qu'elle aurait pu y participer ainsi que Amina Fakhet.

"L'idéal était d'inviter des artistes qui ont vécu et qui ont connu Dhekra Mohamed (...) comme Iheb Taoufik, Abdallah Rouiched, Amel maher, Angham".

Concernant la liberté en Tunisie, Sofia Sadok a estimé que l'excès de liberté a frôlé l'impolitesse. "On peut critiquer mais on ne peut pas être impoli au nom de la liberté d'expression (...) l'insulte n'es pas permise".

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